les rayons passaient par ici,
et par là,
provocateurs par endroit
et puis lentement, le soir arrivant
ils ne passèrent plus qu'au pas à pas
Une vitrine de tribulations neuroniques au travers du vent, de l'eau et du soleil. Ce qui est infernal dans cette histoire, c'est la machine qui trotte dans sa tête....matin midi et soir, comme ces bons repas....on y revient à chaque fois. Même si c'est chaud.....même si c'est froid. La suite ? mimétisme oblige, le grand petit bonhomme se laisse happer par l'inconscience profonde "désormais ce sera moi la machine", crie t il sur un ton INFERNAL
MES ETUDES SONT ICI : https://www.blogger.com/blog/post/edit/2666348754705656167/625...
les rayons passaient par ici,
et par là,
provocateurs par endroit
et puis lentement, le soir arrivant
ils ne passèrent plus qu'au pas à pas
Quelques vues aériennes originales prises vers 1958, avec, dans l'ordre CHARTRES (x2), TANCARVILLE, MARCOULE, LE BOURGET ,BOULOGNE BILLANCOURT
REVE REALITE :
heures chaudes dans les banlieues : celles des mésanges, grenouilles, poules d'eau et autres écureuils....
....magnifique journée, chaude....très chaude....
les hirondelles se rafraîchissement
elles réalisent d’emblématiques "ricochets" à la surface de l'étang...
rêve d'été, rêve de vie simple
pure,
au beau milieu du paradis
planent et se baignent toutes les lumières d'un début d'été
juillet 2023
le rêve est juste là :
accessible et tangible
à la porte de la maison
de nuit comme de jour
les yeux y vont
l'esprit n'en reviens pas
les jambes y retournent
les bras m'en tombent
la vie de retraité ?
orchestrée comme cela.....
"c'est vraiment le pieds"