L’homme était pendu
Depuis des lustres
Par sa lanière
A la cupidité
Du plafonnier
Allumeur de rêves imberbes
Quelqu’un soudainement
Alluma la lumière
Comme on joue
De la carne muse
Il lâchât prise
Et s’écrasa
Crazy
Tel un étrusque
Perdu l’homme était nu
Après un ultime soubresaut
Une dernière brise
l’Omerta
Son trou sur lui se referma
Comme la tranchée sur le poilu.
vendredi 5 décembre 2008
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire