je voyais dans ses yeux les miens
dans son sourire ma joie
et dans sa main la mienne
Une vitrine de tribulations neuroniques au travers du vent, de l'eau et du soleil. Ce qui est infernal dans cette histoire, c'est la machine qui trotte dans sa tête....matin midi et soir, comme ces bons repas....on y revient à chaque fois. Même si c'est chaud.....même si c'est froid. La suite ? mimétisme oblige, le grand petit bonhomme se laisse happer par l'inconscience profonde "désormais ce sera moi la machine", crie t il sur un ton INFERNAL
MES ETUDES SONT ICI : https://www.blogger.com/blog/post/edit/2666348754705656167/625...
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