les rayons passaient par ici,
et par là,
provocateurs par endroit
et puis lentement, le soir arrivant
ils ne passèrent plus qu'au pas à pas
Une vitrine de tribulations neuroniques au travers du vent, de l'eau et du soleil. Ce qui est infernal dans cette histoire, c'est la machine qui trotte dans sa tête....matin midi et soir, comme ces bons repas....on y revient à chaque fois. Même si c'est chaud.....même si c'est froid. La suite ? mimétisme oblige, le grand petit bonhomme se laisse happer par l'inconscience profonde "désormais ce sera moi la machine", crie t il sur un ton INFERNAL
MES ETUDES SONT ICI : https://www.blogger.com/blog/post/edit/2666348754705656167/625...
les rayons passaient par ici,
et par là,
provocateurs par endroit
et puis lentement, le soir arrivant
ils ne passèrent plus qu'au pas à pas
Quelques vues aériennes originales prises vers 1958, avec, dans l'ordre CHARTRES (x2), TANCARVILLE, MARCOULE, LE BOURGET ,BOULOGNE BILLANCOURT
REVE REALITE :
heures chaudes dans les banlieues : celles des mésanges, grenouilles, poules d'eau et autres écureuils....
....magnifique journée, chaude....très chaude....
les hirondelles se rafraîchissement
elles réalisent d’emblématiques "ricochets" à la surface de l'étang...
rêve d'été, rêve de vie simple
pure,
au beau milieu du paradis
planent et se baignent toutes les lumières d'un début d'été
juillet 2023
le rêve est juste là :
accessible et tangible
à la porte de la maison
de nuit comme de jour
les yeux y vont
l'esprit n'en reviens pas
les jambes y retournent
les bras m'en tombent
la vie de retraité ?
orchestrée comme cela.....
"c'est vraiment le pieds"
Une histoire de la gestion par les pouvoirs publics français du trafic et de la consommation de drogue depuis le milieu des années 1960. L'exploitation d'archives inédites donne à voir les enjeux sociaux, sanitaires et politiques du problème et livre des révélations sur les filières, les enquêtes policières et les contentieux diplomatiques qui ont émaillé le XXe siècle.
ETUDE SCIENTIFIQUE de l'axe PARIS MARSEILLE (publication 2015 / 2016)
https://bdoc.ofdt.fr/doc_num.
EXTRAIT :
" Ces questions de recherche s’inscrivent dans un contexte bien particulier. Les effets conjugués de la circulation de l’héroïne et de la propagation du sida ont constitué une véritable catastrophe sanitaire et sociale dans les années 1980 et 1990. Pourtant, cette histoire est restée peu connue et étudiée. D’un côté elle a été couverte par le déni des risques sanitaires et sociaux impliqués par la diffusion des consommations au sein de milieux vulnérables ; de l’autre la souffrance silencieuse des usagers, des familles et des proches, étouffée par le stigmate, a laissé peu de traces visibles. Quant aux sciences sociales, elles ont manifesté peu d’intérêt pour cette histoire immédiate."
ET LA FRENCH CONNECTION ACCOUCHA APRES UNE LONGUE, TRÈS LONGUE GESTATION COMPLEXE, DE LA RÉVOLTE DES JEUNES DES BANLIEUES : point d'orgue en ce moment JUIN / JUILLET 2023.
lien sur la genèse détaillée de la french connection et de sa longue évolution :
https://fr.wikipedia.org/wiki/French_Connection
EXTRAIT :
En août, John Cusack, représentant du BNDD à Paris, donne plusieurs entretiens aux quotidiens Le Provençal et Le Méridional. Il met en cause « trois ou quatre gros bonnets de la drogue », qui bénéficieraient de « protections ». Il s'en prend ensuite à la passivité de la police française devant l'activité des laboratoires clandestins46. Les noms des « gros bonnets » sont cités dans un rapport rédigé par les deux sénateurs américains Morgan Murphy et Robert Steele : « Jack » et « Dominic » Venturi, Marcel Francisci, Joseph Orsini et Antoine Guérini47,
La concussion irresponsable de nombreux élus et politiques "les influents de l'après guerre" a amplement cultivé le vice dans le terreau riche mais toxique des banlieues pauvres. Dès lors, 5 décennies plus tard, le marasme actuel était définitivement installé.....pour ne citer qu'un nom ? Gaston DEFERRE maire de Marseille de 1945 jusqu'à sa mort au milieu des années 80.....
et alors quid ? cet ancien résistant exempt de tout soupçon à passé plus de 30 ans de son temps à dealer avec des chefs d'organisations mafieuses (électorat oblige)....en particulier, la FRENCH CONNECTION / CORSICA CONNECTION.....bénéficia de sa concussion
pendant plus de 30 ans son attitude à permis au crime organisé de la drogue de se muscler dans le sud est de la france pour rapidement atteindre de nombreuses grandes villes françaises dont PARIS, LYON.....pour ne citer que ces deux la.
CE QUE DIT WIKIPEDIA CONCERNANT G. DEFFERRE :
https://fr.wikipedia.org/wiki/
Gaston Defferre s’assure aussi la direction de la fédération SFIO des Bouches-du-Rhône.
concernant nick VENTURI :
Si les jeunes générations ne lisent pas dans le détail cette sordide longue histoire de la FRENCH CONNECTION, ils ne comprendrons rien au désastre (marasme) actuel qui sévit dans les banlieues pauvres des grandes villes Françaises.....
à méditer.
EN PASSANT PAR L'ASSASSINAT DU JUGE MICHEL en 1981 :
https://fr.wikipedia.org/wiki/
Le juge Pierre Michel a été assassiné à Marseille le 21 octobre 1981, il y a 41 ans aujourd’hui. Le juge d'instruction Patrick Guérin, de permanence ce jour-là, a été désigné pour mener l’enquête. Une enquête en eaux troubles visant le milieu marseillais, aux frontières de la politique et de Cosa Nostra… Pour Marianne, Patrick Guérin, qui n’a jamais accordé la moindre interview en presse écrite, raconte les coulisses de ces années de traque.
Il revient sur ses regrets, notamment la fuite du commanditaire de l'assassinat, Homère Filippi, un des hommes du clan Zampa, qui n’a jamais été inquiété… Patrick Guérin révèle avoir vu une carte d'accès à l'Assemblée nationale au nom d'Homère Filippi, délivrée par le ministère de l'Intérieur de l'époque. Il se souvient du jour où « Scapula la balance » a fait basculer l’enquête. Il raconte aussi qui était Pierre Michel, « quelqu’un de bien, de très bien », un juge aux antipodes des caricatures qui en ont été faites. Un témoignage inédit autant que bouleversant. Un témoignage unique d'un des derniers témoins marseillais de la guerre à la « French connection »…
ET MAINTENANT, en 2024,....PARTOUT EN FRANCE ?
Jim MORRISON and the DOORS : leur tube le plus célébre "Riders on the storm"
https://www.youtube.com/watch?
Et puis.....un article qui raconte en détails les hypothèses de la disparition de JIM MORRISON il y a juste 52 ans
https://www.pariszigzag.fr/insolite/la-mysterieuse-mort-de-jim-morrison-a-paris.
Agnès VARDA et Marianne FAITHFULL, co témoins / co présentes autour de cette mort étrange parlent
EXTRAIT :
Selon le journaliste Philippe Manœuvre, d’après le récit que lui a fait Agnès Varda, Jim Morrison est mort d’une overdose dans les toilettes de la boîte de nuit le Rock’N’roll Circus. Venu chercher de l’héroïne pour Pamela Courson, il part tester la drogue dans les toilettes. Ne le voyant pas revenir, le patron du bar, Sam Bernett, fait forcer la porte des toilettes pour le retrouver inconscient après la prise de l’héroïne. La drogue avait été fournie par les hommes de Jean de Breteuil.
Le patron, très embêté du scandale, le fait rouler dans un tapis et le sortir par un club voisin. Il est ramené rue Beautrillis, où on le plonge dans une baignoire d’eau glacée pour tenter de relancer son cœur. Entre temps, Agnès Varda arrive sur les lieux et maquille tout avec son médecin de famille.
Cette théorie a été validée par Sam Bernett lui-même dans son livre Rock’N’Roll Circus. Il précise cependant que ce ne sont pas ses hommes, mais manifestement ceux de Breteuil qui ont emmené le corps de Morrison.
Ces deux théories sont celles qui sont aujourd’hui les plus répandues. Même les proches de Jim Morrison tendent vers l’hypothèse de l’overdose, et non de l’arrêt cardiaque. Mais d’autres ont des théories bien différentes, parfois plus complotistes.
Selon Marianne Faithfull, à l’époque également maîtresse de Jean de Breteuil, elle considère que c’est lui qui a tué volontairement Jim Morrison en lui fournissant une dose d’héroïne pure et donc trop forte. Ce dernier fuit d’ailleurs au Maroc juste après l’affaire, où il mourra à son tour un an plus tard, lui aussi d’une overdose. Elle ne développe cependant pas pourquoi Breteuil aurait voulu assassiner Morrison.
RIDERS on The STORM.....
https://www.youtube.com/watch?
NOTA ; ajout du 04/07/2023
selon les documents (en liens), la FRENCH CONNECTION est évoquée longuement, chronologiquement et avec précision, à aucun moment le nom du comte Jean de BRETEUIL n'est évoqué et pourtant ! c'est lui qui alimenta en nouvelle Héroïne très pure le show biz Français....le show biz américain....le show biz mondial au début des années 70.
https://www.cairn.info/revue-vingtieme-siecle-revue-d-histoire-2012-3-page-89.htm
et
https://documentation.insp.gouv.fr/insp/doc/CAIRN/_b64_b2FpLWNhaXJuLmluZm8tVklOXzExNV8wMDg5/la-french-connection-entre-mythes-et-realites.
Qui était son contact lors des livraisons de cette nouvelle héroïne pure produite dans le sud est de la France....et pourquoi personne n'a cherché à répondre à cette question. Jean de BRETEUIL décédera d'une overdose en juin 1972 et plus personne ne cherchera les noms de ses contacts dans la FRENCH CONNECTION.....à méditer
Mais Sam BERNETT et Marianne FAITHFULL ont parlé : ils sont tous deux les derniers témoins vivants de cette sordide affaire :
LIEN /
https://laprovence.shorthandstories.com/jim-morrison-emport-par-l-h-ro-nede-la---french-connection----/index.html
EXTRAIT :
Témoignage de Sam BERNETT
« Le flamboyant chanteur des Doors, le beau gosse californien est devenu une masse inerte effondrée dans les chiottes d’une boîte de nuit, écrit Bernett. Son visage est gris, les yeux fermés, il y a du sang sous son nez, et une bave blanchâtre comme de l’écume autour de la bouche légèrement ouverte et dans la barbe. Jim ne respire pas. Un médecin n’est pas dupe et parle d’overdose mortelle ». Bernett n’a pas vu Morrison prendre de l’héroïne cette nuit-là mais selon lui, les gens savaient qu’il préférait sniffer cette drogue parce qu’il avait peur des aiguilles. Il assure que les deux dealers ont prétendu qu’il était seulement inconscient et l’ont emporté hors du club. Il pense que Morrison a été ramené à son appartement et qu’on l’a plongé dans un bain pour tenter de le réanimer. Bernett affirme qu’il a voulu appeler les secours au club mais son patron, qui craignait un scandale, lui a demandé de ne pas s’en mêler : « Je m’y suis opposé violemment mais à l’époque j’avais 26 ans, je n’étais pas le patron »."
Témoignage de Marianne FAITHFULL :
"Face à ces nouveaux témoignages, les tenants de la version officielle peuvent-ils faire marche arrière, même si le guitariste des Doors lui-même donne aujourd’hui crédit au récit de Bernett (voir ci-dessous) ? Problème, si Jim a été inhumé le 7 juillet 1971 au cimetière du Père Lachaise, il n’y a pas eu d’autopsie. Quant à Pamela Courson, elle est morte d’une overdose en 1974. Reste qu’un autre témoin privilégié confirme désormais la piste marseillaise : la chanteuse Marianne Faithfull, à l’époque petite amie de Jean de Breteuil. Dealer mondain, c’est lui aurait fourni la drogue fatale : « Ce pauvre salopard est allé voir Jim Morrison et la dose était trop forte. Il l’a tué… ». Dès le lendemain, Breteuil et Faithfull s'envoleront pour le Maroc, où réside la mère du jeune homme. Vraisemblablement pour éviter d'attirer la curiosité des autorités..."
et :
"Dans le documentaire de Michaëlle Gagnet, on apprend que la drogue aurait été récupérée à Marseille par les deux dealers. Une héroïne d’une qualité exceptionnelle, ce qui pourrait expliquer l’overdose. « À l’époque, Marseille était ce qui se faisait de mieux pour la blanche, un véritable label international, confirme Thierry Colombié, auteur de plusieurs ouvrages sur le grand banditisme marseillais. La French Connection, ce n’est pas qu’un film de cinéma : les chimistes de la cité phocéenne étaient vraiment les meilleurs ». Le témoignage d’un chanteur marseillais, installé à l’époque à Paris, va dans le même sens : « Quand une livraison en provenance du Vieux-Port était annoncée, toute la capitale était dans les starting-blocks. Morrison étant dans ce trip de dope, lui comme les autres ! »."
Lise, ma fille aînée, en 2018 lors d'une compétition sur la cote ouest des ETATS UNIS : cette année là elle fêtait ses 41 ans....