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lundi 3 juillet 2023

LE TRAGIQUE et NEBULEUX DECES de JIM MORRISON le 3 juillet 1971 à PARIS



Jim MORRISON and the DOORS : leur tube le plus célébre "Riders on the storm"

https://www.youtube.com/watch?v=7G2-FPlvY58

HISTOIRE :

Le 3 juillet 1971, il y a juste 52 ans, disparaissait Jim MORRISON l'iconique voix des DOORS : leur tube le plus célèbre ? OUI c'est "Riders on the storm".
La tombe de Jim MORRISSON est de très loin la tombe la plus visitée du cimetière Parisien du Père la Chaise

Et puis.....un article qui raconte en détails les hypothèses de la disparition de JIM MORRISON il y a juste 52 ans

https://www.pariszigzag.fr/insolite/la-mysterieuse-mort-de-jim-morrison-a-paris.

Agnès VARDA et Marianne FAITHFULL, co témoins / co présentes autour de cette mort étrange parlent

EXTRAIT : 

LA VERSION DE PHILIPPE MANŒUVRE, SELON LES CONFIDENCES D’AGNÈS VARDA

Selon le journaliste Philippe Manœuvre, d’après le récit que lui a fait Agnès VardaJim Morrison est mort d’une overdose dans les toilettes de la boîte de nuit le Rock’N’roll Circus. Venu chercher de l’héroïne pour Pamela Courson, il part tester la drogue dans les toilettes. Ne le voyant pas revenir, le patron du bar, Sam Bernett, fait forcer la porte des toilettes pour le retrouver inconscient après la prise de l’héroïne. La drogue avait été fournie par les hommes de Jean de Breteuil.

Le patron, très embêté du scandale, le fait rouler dans un tapis et le sortir par un club voisin. Il est ramené rue Beautrillis, où on le plonge dans une baignoire d’eau glacée pour tenter de relancer son cœur. Entre temps, Agnès Varda arrive sur les lieux et maquille tout avec son médecin de famille.

Cette théorie a été validée par Sam Bernett lui-même dans son livre Rock’N’Roll Circus. Il précise cependant que ce ne sont pas ses hommes, mais manifestement ceux de Breteuil qui ont emmené le corps de Morrison.

THÉORIES DIVERSES

Ces deux théories sont celles qui sont aujourd’hui les plus répandues. Même les proches de Jim Morrison tendent vers l’hypothèse de l’overdose, et non de l’arrêt cardiaque. Mais d’autres ont des  théories bien différentes, parfois plus complotistes.

Selon Marianne Faithfull, à l’époque également maîtresse de Jean de Breteuil, elle considère que c’est lui qui a tué volontairement Jim Morrison en lui fournissant une dose d’héroïne pure et donc trop forte. Ce dernier fuit d’ailleurs au Maroc juste après l’affaire, où il mourra à son tour un an plus tard, lui aussi d’une overdose. Elle ne développe cependant pas pourquoi Breteuil aurait voulu assassiner Morrison.

RIDERS on The STORM.....

https://www.youtube.com/watch?v=7G2-FPlvY58

NOTA ; ajout du 04/07/2023

selon les documents (en liens), la FRENCH CONNECTION est évoquée longuement, chronologiquement et avec précision, à aucun moment le nom du comte Jean de BRETEUIL n'est évoqué et pourtant ! c'est lui qui alimenta en nouvelle Héroïne très pure le show biz Français....le show biz américain....le show biz mondial au début des années 70.

https://www.cairn.info/revue-vingtieme-siecle-revue-d-histoire-2012-3-page-89.htm

et

https://documentation.insp.gouv.fr/insp/doc/CAIRN/_b64_b2FpLWNhaXJuLmluZm8tVklOXzExNV8wMDg5/la-french-connection-entre-mythes-et-realites.

Qui était son contact lors des livraisons de cette nouvelle héroïne pure produite dans le sud est de la France....et pourquoi personne n'a cherché à répondre à cette question. Jean de BRETEUIL décédera d'une overdose en juin 1972 et plus personne ne cherchera les noms de ses contacts dans la FRENCH CONNECTION.....à méditer

Mais Sam BERNETT et Marianne FAITHFULL ont parlé : ils sont tous deux les derniers témoins vivants de cette sordide affaire :

LIEN /

https://laprovence.shorthandstories.com/jim-morrison-emport-par-l-h-ro-nede-la---french-connection----/index.html

EXTRAIT :

Témoignage de Sam BERNETT

« Le flamboyant chanteur des Doors, le beau gosse californien est devenu une masse inerte effondrée dans les chiottes d’une boîte de nuit, écrit Bernett. Son visage est gris, les yeux fermés, il y a du sang sous son nez, et une bave blanchâtre comme de l’écume autour de la bouche légèrement ouverte et dans la barbe. Jim ne respire pas. Un médecin n’est pas dupe et parle d’overdose mortelle ». Bernett n’a pas vu Morrison prendre de l’héroïne cette nuit-là mais selon lui, les gens savaient qu’il préférait sniffer cette drogue parce qu’il avait peur des aiguilles. Il assure que les deux dealers ont prétendu qu’il était seulement inconscient et l’ont emporté hors du club. Il pense que Morrison a été ramené à son appartement et qu’on l’a plongé dans un bain pour tenter de le réanimer. Bernett affirme qu’il a voulu appeler les secours au club mais son patron, qui craignait un scandale, lui a demandé de ne pas s’en mêler : « Je m’y suis opposé violemment mais à l’époque j’avais 26 ans, je n’étais pas le patron »."

Témoignage de Marianne FAITHFULL :

"Face à ces nouveaux témoignages, les tenants de la version officielle peuvent-ils faire marche arrière, même si le guitariste des Doors lui-même donne aujourd’hui crédit au récit de Bernett (voir ci-dessous) ? Problème, si Jim a été inhumé le 7 juillet 1971 au cimetière du Père Lachaise, il n’y a pas eu d’autopsie. Quant à Pamela Courson, elle est morte d’une overdose en 1974. Reste qu’un autre témoin privilégié confirme désormais la piste marseillaise : la chanteuse Marianne Faithfull, à l’époque petite amie de Jean de Breteuil. Dealer mondain, c’est lui aurait fourni la drogue fatale : « Ce pauvre salopard est allé voir Jim Morrison et la dose était trop forte. Il l’a tué… ». Dès le lendemain, Breteuil et Faithfull s'envoleront pour le Maroc, où réside la mère du jeune homme. Vraisemblablement pour éviter d'attirer la curiosité des autorités..."

et :

"Dans le documentaire de Michaëlle Gagnet, on apprend que la drogue aurait été récupérée à Marseille par les deux dealers. Une héroïne d’une qualité exceptionnelle, ce qui pourrait expliquer l’overdose. « À l’époque, Marseille était ce qui se faisait de mieux pour la blanche, un véritable label international, confirme Thierry Colombié, auteur de plusieurs ouvrages sur le grand banditisme marseillais. La French Connection, ce n’est pas qu’un film de cinéma : les chimistes de la cité phocéenne étaient vraiment les meilleurs ». Le témoignage d’un chanteur marseillais, installé à l’époque à Paris, va dans le même sens : « Quand une livraison en provenance du Vieux-Port était annoncée, toute la capitale était dans les starting-blocks. Morrison étant dans ce trip de dope, lui comme les autres ! »."


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