mardi 27 avril 2021
Les Dieux de la galaxie s'invitent au domaine de la maison perdue
LE DOMAINE de la MAISON PERDUE
Rêves d'enfant
tout autours de nous,
c'est le domaine de la maison perdue :
le délicat parfum du paradis est en son centre.....
les dieux de la Galaxie sont ici,
ils nous caressent à leur façon.....
Chaque seconde,
chaque matin,
Chaque saison
chaque année
Bien au delà de la cupidité des hommes,
et de leur perfidie,
le vrai....le bonheur existe.
nous avons mis quelques petites années coquines pour sculpter 6 années lumières
qui passaient....
et repassaient dans une quête acharnée
6 hectares....
et autant de jolies parcelles bien solidaires
bien protégées.
Rêves d'enfant
samedi 13 mars 2021
COIN COIN
QUELQUES NOUVELLES DU COIN
Nos 3 canards pataugent
de long en large
tandis que les 3 cannes couvent
dans les roseaux
la vie est tranquille
tandis qu'un sale virus met la planète aux abois
le paradis....
la galaxie sont en émoi :
de ci,
de là,
l'étang résonne
un peu partout
ça fait coin coin
coin coin
mercredi 10 mars 2021
dimanche 10 janvier 2021
VALSE A 2 TEMPS
Fabuleuses moto 500 cm3 2 temps,
il y a encore quelques temps j'en étais l'heureux propriétaire, mais restrictions obligent, je les ai vendues à des collectionneurs....4 cylindres en V et 3 cylindres en ligne ! quelle belle valse à deux temps :
il y a longtemps j'avais 20 ans
vendredi 1 janvier 2021
Bonne ANNEE 2021
il fait - 3° ce matin,
1er JANVIER,
le coeur est brulant
l'esprit est lumineux
pour toutes CELLES et CEUX que l'on AIME
douceur et bonheur
depuis l'étang :
Venus,
Eole,
Mars,
Némo
lundi 21 décembre 2020
ADIEU MORGAN
MORGAN 25 ans tué par un chasseur devant chez lui
POUR MORGAN, UN TRES BEL ARTICLE PARU DANS LIBERATION :
Ecrit par Léa Jaillard une amie de Morgan Keane
publié le 20 décembre 2020 à 17:11
EXTRAIT INTEGRAL :
"Morgan Keane : non, ce n’est pas normal de mourir à 25 ans
Je me souviens de mes promenades d’enfance sur les chemins, avec mon frère, à imiter le cri des Indiens ou à hurler très fort : «On n’est pas des animaux !» C’était pour nous plus un jeu qu’une question de vie ou de mort, des paroles d’enfants qui s’amusent à défier un danger auquel ils ne croient pas vraiment. Aujourd’hui, dans le silence et le vide de mon cerveau, qui tourne à toute allure et brasse beaucoup d’air depuis quelques jours, c’est ton nom qui résonne, Morgan, c’est ton nom que nous sommes nombreux à crier, à dire, à pleurer ou à murmurer. Tu ne nous entends plus. Et ils ne nous écoutent toujours pas. Pourtant, nous sommes en colère. Une colère que le chagrin accentue, une colère de celle qui fait grincer les dents, trembler les mains, qui vous serre la gorge et vous retourne l’estomac.On aimerait pouvoir se battre avec tes armes, Morgan. Ta douceur, ton indulgence, ta bienveillance, ton amour. Mais ils ne parlent pas ton langage. Ils nous parlent de tradition, de régulation, de ruralité, d’accident, de nécessité, de propriété, de 4×4, de gros calibres, de statistiques. Des mots qui ne veulent rien dire, mais qu’ils pensent irréfutables parce qu’ils ressemblent à ceux qu’utilisent nos gouvernants ; un langage froid, sans visage, le langage de la brutalité, du profit, des intérêts, de l’indifférence.C’est un peu facile, «un accident de chasse». Parce que derrière un «accident» de plus, un chiffre de plus, il y a quelqu’un qui a tiré sur quelqu’un et a tué une personne, qui dira qu’il n’a pas fait exprès et qui s’en tirera sûrement avec un an de sursis et quelques années d’interdiction de chasser. Parce que la loi le permet. Parce que le vide juridique qui entoure l’activité de la chasse permet que ce genre d’accidents arrive et ne soit considérés que comme des accidents. Alors, on additionne des chiffres sans nom, et on explique encore une fois que le risque zéro n’existe pas.La mort, c’est toujours triste, souvent dégueulasse et toujours injuste, surtout quand on a 25 ans. Mais Morgan est mort tué tout près de sa maison par un chasseur. Je lis ces mots et je n’arrive toujours pas à les croire. Ils semblent sortis tout droit d’une autre époque. Mais on a beau ouvrir grand les yeux, ça n’a rien d’un cauchemar : on est bien en 2020, en France, et on laisse des gens tirer dans la nature avec des armes de guerre.Un chasseur m’a dit un jour que de toute façon, on pouvait mourir n’importe où, n’importe quand, en traversant la rue, au volant de sa voiture… comme si c’était normal. Mais on en a marre d’accepter vos excuses. Plus que jamais aujourd’hui, elles sonnent faux et on meurt d’envie de vous les jeter à la figure. Non, ce n’est pas «normal» de mourir à 25 ans d’une balle dans la poitrine en coupant du bois devant chez soi. Céder à la colère, c’est peut-être le plus simple, mais se taire, c’est participer à leur hypocrisie et se ranger de leur côté, du côté de ceux qui ont toujours raison et qui veulent nous faire croire qu’ils sont les plus forts.On va encore crier ton nom longtemps, Morgan. Tu ne deviendras jamais un chiffre sans nom. On n’oubliera pas le son de ta voix, de ton rire, ce regard plein d’amour que tu portais sur les choses et les gens, et qui nous faisait nous sentir exister profondément. Et si un jour on arrive à rendre ce monde un peu plus tendre et un peu plus beau, si on arrive à faire reculer l’injustice et la barbarie, c’est toi qui nous en auras donné la force."
vendredi 18 décembre 2020
LE SOLEIL EST UN DIEU,
ET LE CIEL EST TOUT BLEU
18 décembre 2020 peu avant midi,
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