1986 à 2000 ? d'autres photos sont à venir
printemps 2001
été 2008
été 2021
Une vitrine de tribulations neuroniques au travers du vent, de l'eau et du soleil. Ce qui est infernal dans cette histoire, c'est la machine qui trotte dans sa tête....matin midi et soir, comme ces bons repas....on y revient à chaque fois. Même si c'est chaud.....même si c'est froid. La suite ? mimétisme oblige, le grand petit bonhomme se laisse happer par l'inconscience profonde "désormais ce sera moi la machine", crie t il sur un ton INFERNAL
MES ETUDES SONT ICI : https://www.blogger.com/blog/post/edit/2666348754705656167/625...
1986 à 2000 ? d'autres photos sont à venir
printemps 2001
été 2008
été 2021
LE RUSSE "ROSATOM" numéro 1 incontestable du nucléaire dans le monde :
Rosatom détient 67% du marché de construction des installations nucléaires dans le monde, avec un portefeuille de commandes qui dépasse 133 milliards $13.
| Nom | Pays | Lieu | Nombre de réacteurs | Statut | Type de réacteur | Début de la construction |
|---|---|---|---|---|---|---|
| Akkuyu | Turquie | Akkuyu, Mersin | 1 | En construction | VVER-1200 | 2018 |
| 2 | 2019 | |||||
| 3 | 2020 | |||||
| 4 | 2021 | |||||
| Belarusian | Belarus | Astravets, Grodno Region | 1 | En construction | VVER-1200 | 2013 |
| 2 | 2014 | |||||
| Bushehr-2 | Iran | Bushehr | 2 | En construction | VVER-1000 | 2019 |
| 3 | 2020 | |||||
| El Dabaa | Égypte | El Dabaa, North Coast | 1 | Approuvée | VVER-1200 | - |
| 2 | - | |||||
| Hanhikivi | Finlande | Pyhäjoki, Northern Ostrobothnia | 1 | Approuvée | VVER-1200 | 2019 |
| Tianwan | Chine | Lianyungang, Jiangsu | 4 | En construction | VVER-1000 | 2013 |
| Kudankulam | Inde | Koodankulam, Tamil Nadu | 3 | En construction | VVER-1000 | 2017 |
| 4 | 2017 | |||||
| Paks-2 | Hongrie | Paks, Tolna County | 5 | Approuvée | VVER-1200 | 2020 |
| 6 | 2020 | |||||
| Rooppur | Bangladesh | Rooppur, Ishwardi | 1 | En construction | VVER-1200 | 2017 |
| 2 | 2018 |
Pour rappel, la totalité de l’uranium servant aux 56 réacteurs nucléaires françaises est produite à l’étranger. Les besoins sont donc importants et pour cela, la France peut compter sur l’extraction d’uranium nigérien, dans des mines à ciel ouvert, par le groupe Orano (ex-Areva). Dans l’Union européenne, le Niger reste le premier pays importateur d’uranium naturel. En 2021, il fournissait ainsi 24,2% des approvisionnements, devant le Kazakhstan et la Russie, selon l’agence européenne d’approvisionnement Euratom (ESA). À eux trois, ces pays représentent 66,94% du total de l’uranium consommé par les États membres ayant des centrales nucléaires.
MAIS MAIS.... les base 101 et 201 de NIAMEY et AGADEZ (plus de 2000 militaires Français et Américains en tout) concentrent un important contingent aérien doté de drones sophistiqués, et donc le DUO FRANCO-AMERICAIN va devoir être orienté / géré pour une probable intervention aux combats contre les putschistes du général Abdourahamane Tiani, et le rétablissement du président élu Mohamed Bazoum.....
voir :
https://www-aa-com-tr.translate.goog/en/africa/western-military-presence-in-niger-faces-uncertainty-following-coup/2959863?_x_tr_sl=en&_x_tr_tl=fr&_x_tr_hl=fr&_x_tr_pto=sc
AJOUT du 06 08 2023 :
à suivre
Dans ce film émouvant, quelques habitants de LUISANT (banlieue sud de CHARTRES), évoquent leurs souvenirs de la guerre 1939 / 45 ....ma maman Claudine, en fait partie
LUMIÈRES SUR LES HAUSSES A REPETITION DU PRIX DE ELECTRICITÉ : Les aléas du NUCLÉAIRE
Avril 2023 reportage journal de 20 H sur TF1
https://www.tf1info.fr/conso/video-francois-lenglet-replay-20h-jt-tf1-electricite-bouclier-tarifaire-pourquoi-le-prix-est-il-si-cher-la-mise-au-point-2255025.html
la vidéo est visible en tête du reportage TF1 :
EXTRAIT :
Pour François Lenglet, plusieurs raisons : "Nos coûts de production de cette énergie sont les plus élevés en Europe, alors que nous étions le pays-modèle il y a dix ans", dit-il dans la vidéo ci-dessus. En cause, "les vieillissements du parc de la centrale nucléaire qui exigent de lourdes maintenances, les fissures découvertes sur les circuits de refroidissement et la grève récente à l'EDF qui va coûter encore un milliard d'euros à l'entreprise."
La technologie française et son gigantisme suscitent des doutes
Plus préoccupant, "le futur de l'électricité française s'assombrit", annonce-t-il. "Emmanuel Macron a bien décrété la construction de six nouvelles centrales, mais on ne sait pas où trouver les 52 milliards d'euros nécessaires. Même incertitude sur la formation des 100.000 techniciens réclamés par la filière. Récemment, EDF a dû faire venir 100 soudeurs spécialisés des États-Unis."
LA RÉVOLTE DES JEUNES DES BANLIEUES ?
nos dirigeants n'ont jamais su gérer les problèmes sociaux, dont ceux aigus d'une jeunesse désœuvrée des les banlieues...EN VOICI LA PREUVE :
19 mars 1980 Face au président François MITTERRAND Daniel BALAVOINE se fâche sur Antene 2 au journal de midi : il dénonce les problèmes non résolus de la jeunesse et de l'explosion probable et prochaine de celle ci.
PREMONITION AIGUË ? : OUI car 43 ans après ce n'est plus la même jeunesse, mais les problèmes sont toujours présents et ils sont bien pires....car rien n'a été fondamentalement résolu au cours de ces longues années :
Alors qu'a fait le président actuel E. MACRON pour que la jeunesse des banlieues ne se révolte pas ?
"Si, si on a fait quelque chose !" répondit un des lieutenants de E. MACRON (C. CASTANER) = réponse aux gilet jaunes.....
Et bien regardez via ce lien ce qu'ils ont fait : "dans la panique nos dirigeants ont méthodiquement fait peur au peuple" :
http://lemurjaune.fr/?fbclid=IwAR2S9-PgdxtZqU6Zwx6NSJ5byw3SParXgPmx-H5rjJNuCCYUI4pu6Xjp_mE
Retour vers la vidéo INA "BALAVOINE / MITTERRAND" par ce lien :
https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i00000219/colere-de-daniel-balavoine-face-a-francois-mitterrand.
Et pour calmer le jeu en ce milieu d'été 2023 ? par exemple on annonce les augmentations du prix de l'électricité à outrance "quand on ne veux pas condamner les coupable d'une situation dangereusement organisée, on sanctionne les victimes "....c'est le credo du pouvoir régalien depuis des lustres..... à méditer
Présent lors du Paris-Dakar 1986 en tant qu'ambassadeur de l'action humanitaire des Paris du Cœur (Action Écoles), Daniel Balavoine négocie pendant une bonne partie de la journée du 14 janvier avec le gouverneur de Gao, dont les autorités bloquent une partie du convoi acheminant les pompes à eau. Le matin dans le petit avion qui l'emmenait de Niamey (Niger) à Gao (Mali), il donnait sa dernière interview filmée, volée au détour d'une conversation. Vêtu d'un sweat blanc et apparaissant très fatigué, il renouvelait sa confiance en son opération humanitaire au terme d'un échange bref.
Avec Thierry Sabine présent à ses côtés, ils donnent en fin d'après-midi le coup d'envoi d'un match de football entre l'équipe de Gao et celle de Mopti organisé dans le cadre du Paris-Dakar. La cérémonie s'éternise et le jour décline. Cette journée est décrite par tous les protagonistes comme l'une des pires de l'épreuve, avec un fort vent de sable, fluctuant tout au long de la journée. Thierry Sabine doit rejoindre par hélicoptère le bivouac de Gourma-Rharous, arrivée de l'étape à 250 km du site. Daniel Balavoine n'est pas prévu à bord. Plusieurs journalistes présents pour la couverture du rallye et prévus à bord ont ce jour-là échappé à la mort. Patrick Poivre d'Arvor, Yann Arthus-Bertrand, Jean-Luc Roy ou encore Patrick Chêne se seraient trouvés embarqués si deux avions en provenance de Bamako ne s'étaient pas posés par hasard sur le tarmac de Gao. Tous choisirent de s'y disperser45.
Nathalie Odent, journaliste au Journal du Dimanche et VSD, ainsi que Jean-Paul Le Fur, technicien radio RTL, les remplacent dans l'hélicoptère. Jean-Luc Roy, sur la proposition de Thierry Sabine, auprès duquel Balavoine réclamait de temps à autre un baptême de l'air en hélicoptère, cédera sa place au dernier moment au chanteur qui finira, après quelques hésitations, par monter à bord, pressé par le temps46.
À 17 h 15, l'appareil décolle. Le pilote François-Xavier Bagnoud commence par suivre le fleuve Niger (un repère plat et simple) afin de limiter tout risque. Une heure plus tard, ils se posent une première fois à Gossi pour donner le coup d'envoi de la deuxième épreuve chronométrée et repartent au coucher du soleil bien que l'hélicoptère ne soit pas équipé pour voler de nuit. Vers 19 heures, François-Xavier Bagnoud, n'y voyant plus rien décide d'atterrir vingt-deux kilomètres avant l'arrivée. Les conditions sont exécrables, la nuit est tombée et le vent de sable remonte en puissance.
Thierry Sabine appelle par radio le bivouac et demande qu'on leur envoie un véhicule pour terminer le parcours. Il sort de l'hélicoptère et croise un concurrent immatriculé 198. D'un ton calme et rassurant, il réitère sa demande d'aide au pilote Pierre Lartigue et au copilote Bernard Giroux. Claude Brasseur, témoin de leur ultime arrêt, décrira pourtant Thierry Sabine très énervé à l'idée de rester immobile sous l'autorité de son pilote.
De manière inexplicable, ils redécolleront quelques instants plus tard en prenant en chasse le 4 × 4 de Charles Belvèze et de son coéquipier Jacquie Giraud, se guidant à partir des feux rouges arrière du véhicule. Les deux témoins décriront l'appareil comme volant en rase-motte à une dizaine de mètres au-dessus d'eux à très haute vitesse. Le terrain réputé vicieux, ce dernier accroche, après que le 4x4 a viré sur la gauche pour la contourner, le sommet d'une dune de 30 mètres incapable d'apprécier la déclivité progressive du terrain. Rapidement déstabilisé, l'hélicoptère bascule vers l'avant et se désintègre sur près de cent cinquante mètres. Il heurte dans sa chute un ou plusieurs acacias. Il est alors 19 h 20 ; l'accident se produit à seulement huit kilomètres et cinq minutes de vol du bivouac de Gourma-Rharous (approximativement 16° 49′ 52″ N, 1° 52′ 23″ O), en plein désert malien. Le pilote, François-Xavier Bagnoud et les quatre passagers, Nathalie Odent, Jean-Paul Le Fur, Daniel Balavoine et Thierry Sabine, meurent sur le coup.
Si l'accident en lui-même, même s'il est mal compris faute de témoins, reste a priori lié aux conditions météorologiques difficiles, la raison de leur dernier décollage semble irrationnelle et demeure à ce jour inexpliquée. Durant longtemps, la seule et unique réponse qui ait été avancée est la thèse d'une blessure, se fondant sur la découverte de gazes, à l'endroit de leur arrêt. Morsure de serpent, piqûre de scorpion ou tout autre traumatisme suffisamment grave pour s'envoler en urgence et ainsi arriver le plus vite possible à destination, et ce, malgré le danger.
Le corps de Daniel Balavoine est, dans les jours qui suivent, rapatrié en France pour y être inhumé. Son cercueil est exposé un temps au public au funérarium du mont Valérien à Nanterre.
Ses obsèques furent célébrées le à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), où il repose désormais, au cimetière de Ranquine