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mardi 1 août 2023

LA RÉVOLTE DES JEUNES DES BANLIEUES ? 19 mars 1980 : Face à F. MITTERRAND, Daniel BALAVOINE se lâche sur Antene 2 au journal de midi

LA RÉVOLTE DES JEUNES DES BANLIEUES ?

nos dirigeants n'ont jamais su gérer les problèmes sociaux, dont ceux aigus d'une jeunesse désœuvrée des les banlieues...EN VOICI LA PREUVE :

19 mars 1980 Face au président François MITTERRAND Daniel BALAVOINE se fâche sur Antene 2 au journal de midi : il dénonce les problèmes non résolus de la jeunesse et de l'explosion probable et prochaine de celle ci.

PREMONITION AIGUË ? : OUI car 43 ans après ce n'est plus la même jeunesse, mais les problèmes sont toujours présents et ils sont bien pires....car rien n'a été fondamentalement résolu au cours de ces longues années :
Alors qu'a fait le président actuel E. MACRON pour que la jeunesse des banlieues ne se révolte pas ?

"Si, si on a fait quelque chose !" répondit un des lieutenants de E. MACRON (C. CASTANER) = réponse aux gilet jaunes.....

Et bien regardez via ce lien ce qu'ils ont fait : "dans la panique nos dirigeants ont méthodiquement fait peur au peuple" : 

http://lemurjaune.fr/?fbclid=IwAR2S9-PgdxtZqU6Zwx6NSJ5byw3SParXgPmx-H5rjJNuCCYUI4pu6Xjp_mE

Retour  vers la vidéo INA "BALAVOINE / MITTERRAND" par ce lien :

https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/i00000219/colere-de-daniel-balavoine-face-a-francois-mitterrand.

Et pour calmer le jeu en ce milieu d'été 2023 ? par exemple on annonce les augmentations du prix de l'électricité à outrance "quand on ne veux pas condamner les coupable d'une situation dangereusement organisée, on sanctionne les victimes "....c'est le credo du pouvoir régalien depuis des lustres..... à méditer


Daniel BALLAVOINE :


EXTRAIT sur sa mort le 15 Janvier 1986

lien :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Balavoine

Mort accidentelle

Tombe de Daniel Balavoine à Biarritz.

Présent lors du Paris-Dakar 1986 en tant qu'ambassadeur de l'action humanitaire des Paris du Cœur (Action Écoles), Daniel Balavoine négocie pendant une bonne partie de la journée du 14 janvier avec le gouverneur de Gao, dont les autorités bloquent une partie du convoi acheminant les pompes à eau. Le matin dans le petit avion qui l'emmenait de Niamey (Niger) à Gao (Mali), il donnait sa dernière interview filmée, volée au détour d'une conversation. Vêtu d'un sweat blanc et apparaissant très fatigué, il renouvelait sa confiance en son opération humanitaire au terme d'un échange bref.

Avec Thierry Sabine présent à ses côtés, ils donnent en fin d'après-midi le coup d'envoi d'un match de football entre l'équipe de Gao et celle de Mopti organisé dans le cadre du Paris-Dakar. La cérémonie s'éternise et le jour décline. Cette journée est décrite par tous les protagonistes comme l'une des pires de l'épreuve, avec un fort vent de sable, fluctuant tout au long de la journée. Thierry Sabine doit rejoindre par hélicoptère le bivouac de Gourma-Rharous, arrivée de l'étape à 250 km du site. Daniel Balavoine n'est pas prévu à bord. Plusieurs journalistes présents pour la couverture du rallye et prévus à bord ont ce jour-là échappé à la mort. Patrick Poivre d'ArvorYann Arthus-BertrandJean-Luc Roy ou encore Patrick Chêne se seraient trouvés embarqués si deux avions en provenance de Bamako ne s'étaient pas posés par hasard sur le tarmac de Gao. Tous choisirent de s'y disperser45.

Nathalie Odent, journaliste au Journal du Dimanche et VSD, ainsi que Jean-Paul Le Fur, technicien radio RTL, les remplacent dans l'hélicoptère. Jean-Luc Roy, sur la proposition de Thierry Sabine, auprès duquel Balavoine réclamait de temps à autre un baptême de l'air en hélicoptère, cédera sa place au dernier moment au chanteur qui finira, après quelques hésitations, par monter à bord, pressé par le temps46.

À 17 h 15, l'appareil décolle. Le pilote François-Xavier Bagnoud commence par suivre le fleuve Niger (un repère plat et simple) afin de limiter tout risque. Une heure plus tard, ils se posent une première fois à Gossi pour donner le coup d'envoi de la deuxième épreuve chronométrée et repartent au coucher du soleil bien que l'hélicoptère ne soit pas équipé pour voler de nuit. Vers 19 heures, François-Xavier Bagnoud, n'y voyant plus rien décide d'atterrir vingt-deux kilomètres avant l'arrivée. Les conditions sont exécrables, la nuit est tombée et le vent de sable remonte en puissance.

Thierry Sabine appelle par radio le bivouac et demande qu'on leur envoie un véhicule pour terminer le parcours. Il sort de l'hélicoptère et croise un concurrent immatriculé 198. D'un ton calme et rassurant, il réitère sa demande d'aide au pilote Pierre Lartigue et au copilote Bernard Giroux. Claude Brasseur, témoin de leur ultime arrêt, décrira pourtant Thierry Sabine très énervé à l'idée de rester immobile sous l'autorité de son pilote.

De manière inexplicable, ils redécolleront quelques instants plus tard en prenant en chasse le 4 × 4 de Charles Belvèze et de son coéquipier Jacquie Giraud, se guidant à partir des feux rouges arrière du véhicule. Les deux témoins décriront l'appareil comme volant en rase-motte à une dizaine de mètres au-dessus d'eux à très haute vitesse. Le terrain réputé vicieux, ce dernier accroche, après que le 4x4 a viré sur la gauche pour la contourner, le sommet d'une dune de 30 mètres incapable d'apprécier la déclivité progressive du terrain. Rapidement déstabilisé, l'hélicoptère bascule vers l'avant et se désintègre sur près de cent cinquante mètres. Il heurte dans sa chute un ou plusieurs acacias. Il est alors 19 h 20 ; l'accident se produit à seulement huit kilomètres et cinq minutes de vol du bivouac de Gourma-Rharous (approximativement 16° 49′ 52″ N, 1° 52′ 23″ O), en plein désert malien. Le pilote, François-Xavier Bagnoud et les quatre passagers, Nathalie Odent, Jean-Paul Le Fur, Daniel Balavoine et Thierry Sabine, meurent sur le coup.

Si l'accident en lui-même, même s'il est mal compris faute de témoins, reste a priori lié aux conditions météorologiques difficiles, la raison de leur dernier décollage semble irrationnelle et demeure à ce jour inexpliquée. Durant longtemps, la seule et unique réponse qui ait été avancée est la thèse d'une blessure, se fondant sur la découverte de gazes, à l'endroit de leur arrêt. Morsure de serpent, piqûre de scorpion ou tout autre traumatisme suffisamment grave pour s'envoler en urgence et ainsi arriver le plus vite possible à destination, et ce, malgré le danger.

Le corps de Daniel Balavoine est, dans les jours qui suivent, rapatrié en France pour y être inhumé. Son cercueil est exposé un temps au public au funérarium du mont Valérien à Nanterre.

Ses obsèques furent célébrées le  à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques), où il repose désormais, au cimetière de Ranquine



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