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APPROCHE DE L'INFINIMENT PETIT PAR L'INFINIMENT GRAND : études du nombre "e"

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vendredi 12 janvier 2024

12 janvier 2024 / Jour de gel


HOULA.....HOULA .....BRRRRRR

Il était 09h00 au lever du corps, oup's ! il ne faisait que 12° dans la maison .....moins 4 dehors !
vite et fort bien j'entends le message du bon dieu : "allume vite ton diablotin de poêle"....
YES :
déja 16° au bout d'un 1/4 d'heure....je vais passer au p'tit déjeuner
le tuyau salvateur passe au dessus de ma tête : ça chauffe à fond....c'est cool
09h25 = déjà 18°
à ce rythme là il fera 360 ° ce soir.....lol.....

il fait déjà 22° dans la cambuse à 10H10  
10° degrés de mieux en 01H10 bravo !

NB ! pour un vieux truc que j'ai acheté 160 € sur le bon coin c'est quand même pas mal ! 

Un petit tour d'étang pour prendre l'air : - 4 ° le long des berges = elles sont bien gelées et une partie de la surface aussi.

















Bisou Bisou


NB : J'attend ma semi remorque BLEUE....







 

mercredi 10 janvier 2024

NO LIMITE POUR LA CRÉATIVITÉ : EVOLUTION DU MDRDF

 NO LIMITE POUR LA CRÉATIVITÉ

- et si on retire l'étage extérieur (en vert) ?
- et si on économise 3 des 4 dentures externes qui assurent l'accouplement interne (rouge avec bleu) ?
- et si on imagine une organisation "multi-machines à 2 étages" ?
- et si....et si votre imagination prenait le relais ?




LE MODULE MINIMALISTE MONO ENGRENAGE


UN DEMI TOUR  PLUS LOIN



rappel :
La turbine volumétrique "MD*R*DF" ou "Machine Volumétrique Rotative à 3 étages et à Développement Fractal en interne et/ou en externe" est née en 2014, avec mon ami Franco Canadien Yves SAUGET nous avions vécu une joli tempête de créativité....heureusement tracée !
Voici une rare vidéo réalisée à l'époque et surtout des animations GIF réalisée par Yves et visibles via ce lien complémentaire :
Nb : **Doublement Rorative

en complément :
NB : le lien contient aussi des zoom visuels très précis sur les composants / éléments constitutifs de cette machine qui ne demande qu'à être construite et expérimentée en compresseur multi étage.....ou même en moteur rotatif hydraulique

lundi 8 janvier 2024

CHANTELOUBE : le chant étouffé d'une locomotive qui ne monta pas dans l'arche de noé















En  2009 .....on y était












Et une  très intéressante  vidéo synthétique de FLO FLO RAIL :
https://www.youtube.com/watch?v=v3nDscvE89g

Voir aussi :
http://www.inventaires-ferroviaires.fr/kc05/05040.03A.pdf

et :
https://www.waymarking.com/waymarks/WMWBVQ_Viaduc_de_Chanteloube_Chorges_Paca_France

EXTRAIT "SON HISTOIRE" :

Histoire
Le viaduc de Chanteloube constituait l'amorce de la ligne de chemin de fer de l'Ubaye, qui devait relier Chorges (Hautes-Alpes) à Barcelonnette (Alpes-de-Haute-Provence). La construction de la ligne avait commencé en 1909 mais fut interrompue en 1935. Le viaduc n'a jamais été mis en service. Lors de la construction du barrage de Serre-Ponçon, le niveau nominal du plan d'eau (780 mètres) était exactement l'altitude de l'avant-pont est du viaduc. Celui-ci fut donc totalement submergé en 1961, mais il réapparaît, au moins partiellement, au-dessus des eaux chaque fois que le niveau de celles-ci s'abaisse. Ce fut le cas notamment en 2003 lors d'une grande opération de vidange du lac (marnage de -35 mètres), et dernièrement à l'hiver 2008-2009 (-22 mètres)2.

Situation
Le viaduc de Chanteloube franchit le vallon, aujourd'hui submergé, du torrent des Moulettes, petit affluent rive droite de la Durance, qui descend de Chorges et se jetait dans la Durance peu avant son confluent avec l'Ubaye. Avant l'établissement de la retenue, la ligne Veynes - Briançon suivait la rive gauche de ce vallon, et passait en tunnel la pointe de Chanteloube pour prendre la direction de l'est. La ligne de Barcelonnette s'en détachait sous le hameau de Chanteloube, et, amorçant sa descente, bifurquait vers le sud en traversant immédiatement le vallon par le viaduc, avant de franchir la Durance quelques kilomètres plus loin par un nouveau viaduc (inachevé à la date d'arrêt des travaux)3.

Description
Le viaduc est du type pont en maçonnerie à plusieurs arches. Sa longueur totale est de 300 mètres. Son profil en long est en forme de S inversé, avec raccordements paraboliques, de manière à assurer le raccordement de la voie sur chaque rive tout en effectuant une traversée presque perpendiculaire au vallon. Il est en déclivité constante de 21mm/m de la rive gauche (côté Chorges) vers la rive droite (côté Hyvans).

Le viaduc comporte 6 arches principales en voûtes légèrement surhaussées de 27 mètres d'ouverture, encadrées de chaque côté par quatre arches de 9 mètres et un avant-pont plein. Entre les arches principales et les arches latérales deux piles massives assurent la stabilité de l'ensemble. La hauteur des piles est très inégale, compte tenu de la forme encaissée du vallon. L'arche centrale dominait le cours d'eau de 61 mètres.

Le style architectural est typique du « style Séjourné » : pas de chaîne d'angle empâtant les parements, pas de saillie du bandeau sur l'intrados, les voûtelettes d'élargissement, chères à Séjourné, sont ici cachées par les tympans. Les parapets sont bas, le pont n'ayant pas vocation à voir passer des piétons ou des véhicules non guidés.

Accès
Le site de Chanteloube est accessible au public. La ligne Veynes - Briançon ayant été reconstruite plus au nord, l'ancienne plateforme du chemin de fer a été transformée sur un peu plus de 2 kilomètres en route d'accès. Cette route emprunte au passage un viaduc de moindre importance (viaduc de Pralong) sur un affluent du torrent, depuis lequel la vue est plongeante sur le ravin des Moulettes ; on aperçoit au fond les vestiges de l'ancienne route nationale 94 qui descendait vers la Durance par le fond du vallon.

Auprès du viaduc une aire de loisirs nautiques est aménagée.

Chaque année, lors des vidanges et basses eaux de la retenue de Serre-Ponçon, l'accès au viaduc est possible à pied, y compris jusqu'à l'autre rive. La ligne de Briançon abandonnée est noyée au-delà de Chanteloube, mais en passant la pointe on peut en apercevoir quelques restes lors des basses eaux.