par un bel après midi de printemps
les mots furent insuffisant
pour raconter tant et tant de choses
le silence s'empara des esprits
une douce bienveillance aussi
la paix était revenue
Une vitrine de tribulations neuroniques au travers du vent, de l'eau et du soleil. Ce qui est infernal dans cette histoire, c'est la machine qui trotte dans sa tête....matin midi et soir, comme ces bons repas....on y revient à chaque fois. Même si c'est chaud.....même si c'est froid. La suite ? mimétisme oblige, le grand petit bonhomme se laisse happer par l'inconscience profonde "désormais ce sera moi la machine", crie t il sur un ton INFERNAL
MES ETUDES SONT ICI : https://www.blogger.com/blog/post/edit/2666348754705656167/625...
par un bel après midi de printemps
les mots furent insuffisant
pour raconter tant et tant de choses
le silence s'empara des esprits
une douce bienveillance aussi
la paix était revenue
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